samedi 31 octobre 2009


SUD OUEST Mercredi 28 Octobre 2009
BIZANOS : Du caviar pour les aînés

Le CCAS de Bizanos a organisé un voyage au Val d'Aran pour 200 aînés. Ils ont notamment visité un important élevage d'esturgeons. .

* Commentaires

Laurent le 30/10/2009 à 08h07
La pisciculture du caviar du Val d'Aran ou Caviar des Pyrénées est certifiée iso 9000 et iso 14000.
Le caviar issue de cette production est en conversion BIO...
La pisciculture est à 20 km de la source de la Garonne...
Même les tags de l'article ne mentionnent ni "caviar" ni "caviar Val d'Aran", ni "Pyrénées" ni "sources de la Garonne"...
autant d'info que Sud Ouest élude...
Protectionnisme ?

SUD OUEST lundi 26 octobre 2009

CUISINE. Le nouveau numéro du « Sud Ouest Gourmand » fleure bon les saveurs d'automne

Pour les gourmands du Sud Ouest uniquement

Les secrets de la cuisine de Claude Darroze.
La dernière livraison de « Sud Ouest Gourmand » tombe à pic. En prenant le parti de nous faire entrer dans la cuisine d'automne, la rédaction du magazine des saveurs d'ici a fait le bon choix. Marie-Luce Ribot, la responsable éditoriale, et son équipe nous emmènent dans les sous-bois découvrir ou redécouvrir les plaisirs du cueilleur et du chasseur qui sommeillent en chacun d'entre nous.Jean-Philippe Rousseau a décidé de relancer un produit de luxe, le caviar d'escargot, depuis Mons-en-Saintonge, et que quelques chefs précurseurs mettent à l'honneur. Nicolas Magie, le chef étoilé de Cenon, raconte comment il a remis la betterave sous les projecteurs, en la cuisinant simplement, en la râpant ou en l'enfournant après l'avoir fait bouillir.Des Pyrénées au Landes, de Charente-Maritime au Lot-et-Garonne, chefs réputés ou amateurs éclairés nous font découvrir leurs mille et une façons d'accommoder les coquillages ou de cuire le boudin, de préparer la confiture de noix ou d'orange. En vous plongeant dans le « Sud Ouest Gourmand » d'automne (1) vous saurez tout de la recette de l'oeuf en gelée de Jurançon ou de la soupe de châtaignes, du Xamango à la tomate ou de la mique sarladaise. À noter une belle sélection de vins de gibier pour toutes les bourses. À lire absolument et sans modération, les recettes de cuisine des bois de Cocagne de Claude Darroze. Au pied de sa palombière, le chef langonnais nous dit tout sur sa façon de cuisiner gibier et champignons. Vive l'automne.(1) En kiosque, 114 pages, 2,90 €

Tags : Gironde Environnement Nature cenon Actualité
SUD OUEST | lundi 26 Octobre 2009

* Commentaires
Laurent le 30/10/2009 à 08h12

Il est à noter que seul le caviar d'œufs d'esturgeons, a droit à l'appellation CAVIAR...

l'esturgeon est un poisson, etc...

http://caviar-des-pyrenees.com

TOULOUSE SPECTACLE DU 15/10/09

L'Epicerie Moderne 20 rue Ninau - Toulouse - 09 60 41 75 26. Epicerie fine, "Canard" de Barthouil, Truffes - Raviolis frais aux truffes, Porc noir de Bigorre, Charcuterie d'Hardouin, pâtes et huiles italiennes - Vins naturels, en biodynamie ou agriculture raisonnée - distributeur exclusif de Caviar des Pyrénées - Saumon fumé sauvage, gravelax - Ouvert du mercredi au samedi de 16h à 20h, les samedis et dimanche matin de lOh à 13h

LA DEPECHE DU MIDI COMMINGES 05/09

A découvrir au parc
Le Parc des expositions accueille, les photographies de Laurent Dard consacrées a
l'édition 2 008 des Rencontres, des artisans fabricants de guitares, un libraire, une
decoratricee et propose une dégustation de Caviar des Pyrénées

LE NOUVEL EPICIER 04/09

Le Caviar Nacarii, diamant noir des Pyrénées, fait son entrée avec un goût unique, pur, long et fin, à la saumure légère, est obtenu notamment grâce à l'alimentation naturelle et sans OGM des esturgeons et à l'extrême pureté de l'eau de la pisciculture

Boite de 50 g
Caviar des Pyrénées

LA REVUE DES COMPTOIRS 04/09

Le « diamant noir de la gastronomie » est élaboré à partir d'esturgeons autrefois sauvages et aujourd'hui en voie de raréfaction inquiétante.
La société Caviar Nacarii a opté pour l'élevage en captivité de l'esturgeon, pour contribuer à la protection de l'espèce et à la qualité constante du produit, de l'arrivée des alevins jusqu'au conditionnement.

Située au milieu des pyrénées, la vallée d'Aran est irriguée par des eaux pures dont bénéficie rétablissement piscicole.
Caviar des Pyrénées - Toulouse - Tél. : 09 60 41 75 26

LES MARCHES 18/02/09

A SAVOIR
Les Pyrénées, nouvelle origine pour le caviar
Le petit marché français du caviar doit désormais compter avec une nouvelle origine :
le caviar des Pyrénées. La production est implantée côté à Les, dans la vallée d’Aran, à 20 kilomètres des sources de la Garonne. Il s’agit d’une production d’élevage, à l’image de celle d’Aquitaine, lancée avec succès dans les années 90. L’entreprise propriétaire et gestionnaire de la pisciculture de la vallée d’Aran est Caviar Nacarii, société créée en 1999 et rachetée en 2005 par le groupe espagnol d’énergie Neoélectra qui possède la centrale de cogénération électrique voisine. Le caviar est issu d’alevins d’esturgeons Acipenser Baerri, une espèce de baikal sibérien.
Ils arrivent à la pisciculture à l’âge de deux mois. La production d’oeufs n’a cependant démarré qu’il y a trois ans, les femelles esturgeon n’atteignant l’âge optimal pour la production qu’à leur sixième année. Le caviar des Pyrénées, au grain plus fin et au goût moins iodé et marqué que le beluga, compte sur un prix plus abordable que ses cousins sauvages iranien ou russe : 100 euros les 50 grammes dans les magasins spécialisés.
Soit de trois à cinq fois moins cher que le caviar de la mer Caspienne. A titre de comparaison, on trouve en ce moment, à prix de détail, le beluga d’Azerbaïdjan à 8000 euros le kilo ! La société toulousaine Caviar des Pyrénées, distributeur exclusif du produit en France depuis la fin 2008, mise notamment sur ce positionnement, maisaussi sur l’argument écologique, alors que la production de caviar sauvage reste controversée. Pour l’heure, seule une poignée de traiteurs, épiceries et restaurants français privilégiés proposent le caviar des Pyrénées à leur carte.


TOUL ECO du 04/02/09

Alors que l’extinction de l’esturgeon, l’a mise à mal, la production mondiale du caviar
reprend du poil de la bête… dans les Pyrénées.
Encore confidentielle, la production de caviar de la Garonne pourrait relancer toute une filière… C’est dans le val d’Aran, au milieu de la chaîne des Pyrénées, que l’or noir prend un nouvel essor, aux sources même de la Garonne ! Sous la marque Caviar des Pyrénées, ce caviar vient de signer avec un distributeur toulousain exclusif, en contrat national pour l’hexagone et qui compte bien s’attaquer au marché japonais dès le printemps 2009.
La pisciculture abrite, ici, 3500 femelles esturgeons sibériennes, arrivées à maturité
en sept années au lieu des quatorze nécessaire à l’état sauvage.
Amenées à quelques 21°, les propriétés des eaux claires de fonte de neige de la Garonne, associées à un régime à base d’algues, de plancton et de vers, potentialisent cette croissance « Leurs oeufs donnent un caviar frais, non pasteurisé, juste salé pour lui conserver sa dimension naturelle », assure Sara Moralès, directrice commerciale. Vendu en avant-première, à deux pas du Capitole, aux Halles Victor Hugo à l'assiette norvégienne, le caviar des Pyrénées semble être apprécié des connaisseurs. Pour Yannick Delpech, jeune chef étoilé de l’Amphytrion à Colomiers : « …les grains n’explosent pas, on les sent bien. Ils ne claquent pas sous la langue. Ils sont de fort belle qualité ».
Au prix de 2000 euros le kilo, contre 6000 euros pour le caviar d’Asie Centrale, dans sa petite boîte orange, le Caviar des Pyrénées devrait bientôt passer de la confidentialité à nos buffets...

L'OPINION INDEPENDANTE DU 12/12/08

Quand L’Assiette Norvégienne se fait Épicerie
Sans délaisser sa loge du marché Victor Hugo, Florence Grimm vient d’ouvrir
Les amateurs de poissons fumés et gourmandises dérivées connaissent L’Assiette Norvégienne du marché Victor Hugo. Florence Grimm y propose depuis juin 2001 une
gamme impressionnante de saumons, harengs et autres poissons (anguilles, maquereaux, thons…) fumés artisanalement. On y savoure aussi des poissons marinés,
des blinis maison ou encore une gamme de taramas succulents à mille lieux du goût commun propagé par l’industrie.
Tout cela se retrouve évidemment entre les hauts murs en brique et sous la belle voûte qui abritent son nouveau magasin, ouvert depuis quelques jours.
Désormais, Florence, épaulée par son mari Laurent, dispose d’un lieu qui permet d’élargir la palette. Cependant, du bouillonnant marché Victor Hugo à la sage rue Ninau, la philosophie n’a pas changé : elle vise toujours des produits rares témoignant d’une recherche de l’authenticité et de l’excellence. Dans cette sélection, elle a fait confiance à ses fournisseurs habituels (dont la maison Barthouil pour le saumon et le canard, notamment avec un foie fumé aux deux poivres), mais a également enrôlé sous sa bannière la Maison de la Truffe (superbe déclinaison de mets fins) ou les andouillettes, terrines et cassoulets de la maison Hardouin ainsi que des épices d'Olivier Roellinger. D’un Italien installé à Rabastens, elle a récupéré diverses pâtes, huiles d’olive et sauces venues des Pouilles. Le riz carnaroli voisine avec des piétinades à base de légumes, des pestos originaux ou le thon traditionnel de chez Ortiz sous le regard des moutardes artisanales de Charroux, des conserves de poissons de La Paimpolaise ou des confitures aux fruits frais d’un producteur de Bessières. Les artisans toulousains ne sont pas oubliés puisque l’on repère les chocolats de Criollo tandis que le pain Poilâne arrive le jeudi.
À manger et à boire
Il y a donc à manger à L’Épicerie Moderne, mais aussi à boire avec une sélection de vins choisis par l’irremplaçable Jean-Michel Delhoume (ancien patron du Mauzac, à Paris puis à Toulouse) qui connaît la question. Une petite centaine de références balaient le vignoble français (les Viré-Clessé et Mâcon-Villages du Domaine Sainte Barbe, les Coteaux du Vendômois de Patrice Colin, les Côtes-du-Rhône de Jean David, le champagne de Christophe Lefèvre – «un futur Selosse», dixit Laurent Grimm…) avec un engagement marqué pour les vignerons bio et la volonté de dénicher des références jusque-là peu disponibles à Toulouse.
Enfin, fêtes obligent, impossible de faire l’impasse sur les caviars proposés à L’Épicerie Moderne qui, outre des valeurs sûres (la maison Kaspia), a obtenu l’exclusivité du Caviar des Pyrénées, caviar du Val d’Aran plus long en bouche que celui d’Aquitaine, que Florence Grimm distribue en France.
«Nous avons testé tout ce que nous avons choisi de mettre en vente», dit-elle dans un sourire qui reflète autant le plaisir des rencontres que l’ampleur de la tache. À cette singularité notamment, on devine que l’enseigne sera bien mieux qu’une épicerie fine de plus dans la ville ou qu’un endroit à la mode, vite adopté et vite abandonné.

PYRENEES MAGAZINE .COM DU 17/12/08

Le caviar pyrénéen arrive en France
On connaissait le caviar de la mer Caspienne, on connaissait le caviar d’Aquitaine. On connaît en revanche bien moins le caviar des Pyrénées. C’est de l’autre côté des Pyrénées françaises, dans le Val d’Aran, que le groupe Neoelectra a installé à Lès ses bassins de pisciculture. Face à la disparition des esturgeons sauvages, l’entreprise, spécialisée dans la cogénération d’électricité, s’est lancée dans la production de caviar, il y a neuf ans.
C’est dans l’eau de la Garonne que les esturgeons, de l’espèce nacarii, originaire du lacBaïkal, atteignent leur maturation au terme de sept à huit ans.
Les premières boîtes sortent de la pisciculture sous la marque Caviar Nacarii en 2003. Depuis, le caviar pyrénéen connaît un succès croissant : en cinq ans, la production passe de 70 à 700 kilos. À ce rythme, la marque espère atteindre les 2 tonnes annuelles en 2010. Un succès qui se confirme aujourd’hui, avec un développement à l’étranger. Caviar Nacarii vient en effet de signer un contrat avec un distributeur toulousain pour le commercialiser sous la marque "Caviar des Pyrénées", pour une commercialisation en France.
L’entreprise espère réaliser 20 % de ses ventes chez son voisin.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire